Pour les adeptes de la raison pure, au-delà de cette limite, vos pensées ne sont plus valables...

Le_triquetra_symbole_de_la_ternaire_Divine

- Il n’y a aucune religion qui soit supérieure à la vérité -

Le_triquetra_symbole_de_la_ternaire_Divine

Philosophie

La liberté, plus qu'un concept ou une idéologie, c'est un devoir.

Selon l'adage : tout homme aspire à être libre, de penser, de s'exprimer et de circuler selon ses propres choix.
La liberté concept philosophique sans doute le plus prôné à travers le monde.Photo_de_la_statue_de_la_liberté La liberté, telle qu'elle est perçue en ce monde relatif, se heurte à plusieurs barrières. Nombreux obstacles sur le chemin, qu'elle soit collective ou individuelle, politique, social, morale, partout on doit faire face à des contraintes, voir des restrictions.
Avant toute spéculation et autres considérations intellectuelles, le langage nous enseigne qu'Être libre, c'est : Être accolé au terme libre.
Être-libre, implique donc, l'être ou individu qui pense, selon sa conception et sa définition du terme libre, c'est une vision subjective.

La liberté et les lois

La liberté s'obtient par la connaissance et le respect des lois, et qu’il n’y a pas de liberté sans le respect des règles qui en permettent l’exercice.
L'ignorance des principes et une définition erroné, conduit la femme et l'homme dans une lutte d'une absurdité abyssal.
Dans une société libre comme la notre (France), ou l'on peut se déplacer, s'exprimer et pratiquer le culte de son choix librement est un fait acquit.
Même si, il existe des amélioration a parfaire, l'essentiel est présent, la part d'évolution à amélioré est d'ordre intérieur, celle de la liberté et cela passe par une évolution spécifiquement individuel et personnel.
Par lois, il ne s'agit pas du code pénal, même si un minimum de leurs connaissances est requit et indispensable, il s'agit plutôt, des lois principes de l’Esprit qui régit la vie ou la nature de toutes choses, autrement dit, celles de la Divine providence (lire le sujet). Bien que, la définition spirituel présente des similitudes avec celle du langage religieux, elle n'est en aucun cas affilier à leurs dogmes.

Libre et liberté, confusion et confrontation entre réel et réalité dans un même monde.

Dans le langage, écrit comme orale, le terme libre est masculin, tandis ce que la liberté est féminine.
Cette nuance est importante, lorsque il s'agit de définir, comprendre et assimiler le sujet.
Le principe de genre, ne relève pas du langage, mais de facultés intrinsèque de notre espèce, il est symbolisé par l'androgyne. Étant incontournable en ce monde dit relatif, l'aspect féminin, est caractéristisé par la sensibilité, l'intimité, l'intériorité, le ressentit, autrement dit, ce que l'on pense et visualise intérieurement.
Le masculin, est notre rapport au monde extérieur, il est notre expression et nos actions dans le monde visible et partager par tous, ce qui est comm-un.
Le terme libre, est masculin, par conséquent, un ensemble de lois penser, rédiger et appliquer par l'Homme et en apparence par les mâles (masculin). Or, il en est rien, le principe de genre nous rappelle, qu'en chacun, les deux principes cohabitent et sont indissociables. Ce qui n'exclut nullement un penchant sexuel pour l'un ou l'autre, mais ici, il ne s'agit pas de sexe femelle et mâle, mais de principes. L’identification au sexe, pour définir nos rapport, c'est n'avoir que peu de conscience.
Le sexe est du plan sensoriel et qu'un réflexe suffise à résoudre une pulsion. L'indissociabilité des principes, tend à nous rappelé, qu'une importante confusion concernant notre identité est le principal problème du rapport que nous avons au monde et surtout au vivant et plus particulièrement avec nous-même.
Être équilibré, implique un minima, une cohérence en soi entre ces deux principes, le mariage en est le symbole de cette union intérieur ! L'interne, ce projéte dans le monde externe.
L'ignorance, avec laquelle nous intégrons les informations ainsi que leurs définitions provennant du monde extérieur et que nous tenons pour vérité... C'est déléguer notre responsabilité est ignorer, que le monde lui même se cherche, puisqu'il n'est que reflet de ce que nous sommes, une somme qu'est la totalité de nos pensées.

La séparation

Tout dans la création, se manifeste donc, par une polarité et qui est nécessairement double. La vision hétérogène a la fâcheuse manie de séparer chaque polarité comme ayant une existence propre et indépendante. Or, c'est une seule et unique même choses avec ces deux extrémités, par conséquent c'est un double indissociable, inhérent et nécessaire l'un de l'autre. Le crée et l'incréé, le mortel-l'immortel, lumière-ténèbres, chaos-ordre, esprit-matière, le ciel-la terre, le plus-le moins, haut-bas, froid-chaud, sec-humide, mâle-femelle, "Bien"-"Mal", ignorance-connaissance, etc.
Polarité, dualité ou contraire, sont trois termes synonyme qui définissent une même chose sur trois plans différents.
Le froid et le chaud, est une voie unique avec deux directions qui s'oppose par leurs nuances en degrés, il n'y a qu'un indicateur, le thermomêtre, qui mesure ces nuances diffèrentes. L'azote, comme le feu, les deux sont brulant, seule la sensation diffère... L'intellect, pour expliquer, procède toujours par séparation, or, comprendre implique l'association, une mère et son bébé pris sééparémment, deviennent une femme et un enfant, leurs lien est rompus. Il en est de même pour le principe de genre, avec son Féminin et son Masculin, nous pouvons les séparer pour mieux distingué leurs qualitées propres, mais cela nous permettra pas d'en comprendre leurs associations créative. De leurs unités que la naissance prend forme, celles des idées, des sentiments, de l'amour, la beauté, etc.
Le mot "Genre" dérive d'une racine latine signifiant "engendrer, procréer, faire naître, créer, produire".
Le Genre se manifeste dans toute chose, que les principes Masculin et Féminin sont toujours présents et actifs dans toutes les phases d'un phénomène, sur n'importe quel plan de vie. Ce principe masculin-féminin, a une importance capitale dans nos perceptions sur le sujet du Libre et de la Liberté, l'un est masculin et l'autre féminin
Le principe féminin, est sensible, il relève du monde intérieur, il est en tout un chacun, que l'on soit de sexe masculin comme celui du féminin...
La caractéristique principale du féminin, est qu'elle est intuitive, de par sa sensibilité supérieure dans ce domaine, elle est en connexion avec l'Esprit même de la vie, elle est l'inspiration, c'est l'intimité du monde intérieur qu'est celui que l'on nomme réalité. Tandis ce que le masculin, est expiration, il reçoit l'information de sa partie féminine, dont il a pour charge de sa mise en application et l'adaptation au monde extérieur qu'est le réel.
L'identification par le sexe au lieu du principe est la source de conflits sociétaux entre les deux sexes. La guerre des sexes est liée à cette confusion du genre.
Une Femme, de sexe femelle, dispose de son principe masculin, lorsqu'elle décide de transposé ces idées du monde intérieur vers celui de l'extérieur, son comportement met en pratique les attribues du principe masculin (force) et dans la société, l'androphobie et le comportement machiste similaire à celui de certains hommes de sexe mâle. Certains hommes, sont autant sensible à leurs monde intérieur que celui de certaines femmes.
Comme dit plus haut, c'est un principe indissociable, lorsque l'on constate une lutte social, domaine strictement politique pour s'attribuer le pouvoir,, c'est la présence d'une stratégie d'un déséquilibre entre les deux principes en faveur de la masculine. Quand certaines femmes évoque légitimement leurs droits et leurs libertés, cela coule de source, par-contre lorsqu'elles argumentent leurs luttent par leurs principes masculin, il y a dissonance entre pensé, parole et acte du principe féminin.
De même pour le sexe masculin, ignoré, oublier ou renier sa sensibilité purement féminine pour ne développer que la masculine est un acte de barbarie à l'encontre de la pérennité de son espèce.

La liberté et son contraire

- La liberté du monde intérieur, à pour contraire la nécessité, cela, implique que l'on ne peut accéder à la reflexion, la pensée, uniquement, lorsque la nécessité est accomplit.
Comment être libre quand l'estomac est vide, ou lorsqu'une douleur saisissante court-circuite totalement le cortex cérébral, siège de la pensée, etc.
Le corps physique du plan sensoriel via l'Amygdale, dispose de la priorité psychique (émotionnel) sur le mental, car l'évolution, procède toujours du bas vers le haut, contrairement à la création, qui décline du haut vers le bas.
Se préoccuper uniquement de la liberté, c'est se condamner à la mort par la faim ou la soif, le froid ou le chaud, etc.
La nécessité sans liberté serait fatale comme la liberté privée de son frein nécessaire deviendrait insensée.
-Libre du monde extérieur et necessaire, forment une dualité, si un inividu à accomplit son devoir intérieur, par l'équilibrage de son Féminin et Masculin, alors, il dispose des droits d'accéder au monde libre, puisqu'il sera dans le respect de la diffèrence, voir dans la comunion avec ces semblables par compassion et ampathie.
La liberté, englobe le libre, le libre nourrit et enfante la liberté, qui à son tour donne naissance au monde libre, c'est un mouvement perpétuel, il ne s'arrête pas, il est non figée. Cette union entre les deux mondes donne naissance à l'énergie de procréation continu, il est sans fin dans son Absolu.
En résumé de ce paragraphe : un droit exclusivement masculin du monde extérieur, c'est la servitude.
Un monde sans devoir, issue spécifiquement du féminin intérieur, serait la folie.

Libre de penser, de s'exprimer et circuler

Penser, parole et action est une déclinaison du principe créateur, qui nous rappelles que notre monde terrestre est régit par trois niveaux de pensées :
spirituel, intellectuel et sensoriel.
La pensée étant première, abstraite, ce n'est que lorsque elle se manifeste, que l'on l'exprime, en soi ou extérieurement aux autres, qu'elle se revêt d'une forme matériel identifiable.
L'émotion, en tant que telle, est une énergie et fonction de l'Âme, en charge de chauffer notre corps et le mettre en mouvement. La pensée, carburant ou essence de l'âme, se manifeste sous forme émotionnelle et selon le niveau de conscience du penseur, sera interprété et diriger par la conscience selon ces capacités :
- Sensuel (sensoriel), c'est la capacité à ressentir.
- Sentiment (intellectuel), l’aptitude à éprouver (affronter).
- Sensible (spirituel), faculté à recevoir.
La liberté, il aura fallu au préalable la pensée, donc, s'exprimer et circuler librement implique incontestablement notre façon de penser.
La pensée d'un enfant, un adolescent, un adulte ou celle d'un ignorant, d'un intellectuel ou d'un sage ne revêt pas le même sens et encore moins la même valeur.
En cela, le principe créateur, implique le -chacun son mérite- qu'est celui du devoir. Ce n'est que lorsque le devoir est accomplit, que le droit devient ouvert, et plus le devoirs est important plus la liberté est grande.
Un enfant ne maîtrise, ni son corps ni son mental et n'a aucune idée de ce qu'est son esprit. Lorsque celui-ci, exprime un désir, l'adulte responsable de lui, ne peut que le refréner dans son désir. De même qu'un intellectuel, par exemple un scientifique, dans le cadre de sa recherche, ne prend absolument pas en compte les répercutions de son travail que pourrait avoir sur ce même enfant, son objectif étant de découvrir, il ne fait aucune relation entre son travail et les différentes répercutions sur la société. Quand-bien même, il y penserait, seule sa réussite au regard de ces compères, pour cause de compétitivité ou du prestige de son égo, fera office de référence de son travail et s'arrangera avec sa conscience en sombrant dans le déni, par ignorance de sa propre responsabilité.

La subjectivité

Le principe de correspondance, nous démontre, que la vie est subjective, par nécessité, afin de permettre la diversité.
Les différents niveaux d'évolutions entre citoyens d'une même culture le démontre. les états comme les individus pratique la liberté sous la même référence.
Le niveau de conscience d'une civilisation, se reflète dans les lois régissantes l’ensemble des pratiques par ces citoyens dans la société. Certaines ont atteint un niveau de sagesse suffisant pour permettre la liberté physique du plan sensoriel par la liberté de circuler, la liberté d'expression si chère au plan intellectuel, mais également la possibilité de pratiquer la spiritualité ou culte de son choix... tandis ce que d'autres, n'accordent que les deux premières et certaines uniquement celle de circuler.

Se con-naître

Se con-naître, con, est un terme d'origine latine, qui signifie avec, et naître est l'incarnation en ce monde.
Naître, s'entend par n’ Être. Le N, est la jonction de choix entre ce qui est en haut (céleste) et comme ce qui est en bas (terrestre).
Être, en langage, est un auxiliaire, et un auxiliaire est une Personne qui apporte sa collaboration, son aide.
La pensée qu'est : Être, lorsque cet auxiliaire est exprimer par celui qui se pense, se prononce par : Je-suis, conjuguer à la première personne du singulier, c'est ce qui définit l'être. Or, je suis peut s’entendre par le verbe Suivre une voie (chemin) ou voix (paroles ou pensées de quelqu'un d'autre).
Suivre, c'est avoir un but, un objectif, un idéal, etc. Avoir, étant la polarité d'Être, dans le langage, il s'écrit : a-voir, A, est un caractère restrictif, qui résume : qu'avoir c'est être sans vision, un aveugle d’où l'expression de s'être fait par avoir.
Donc, avoir une destination, implique un chemin. Suivre un chemin pour se rendre quelque part, mais ou et lequel ?
Un plan, une boussole et les points cardinaux, nord, sud, etc. Nous permettent de nous situer et nous déplacer dans l'espace géographique.
L'Être, dans sa quête de liberté se sert de la conscience pour penser (ce situer), le contenu de ses pensées est le plan, la lucidité est sa boussole et ces points cardinaux sont la polarité (deux pôles) : le Vice est son opposé qu'est la Vertu ainsi que l'horizontalité et la verticalité pour atteindre sa finalité. Le tout constitue une croix, qu'est celle de nos choix.

La liberté exige de Penser par soi

homme en équilibre sur une roche en haute altitudeLa liberté n'est pas un désire, c'est une faculté d'action mental, je suis libre de penser...
Nos désires sensoriels comme intellectuels, s'ils ne sont pas maîtrisés, sont une chimère, ils nous cloisonnent, chacun d'eux forges les barreaux de la grille en fer de notre prison bâtit par nos pensées. Fer, en-fer, en-fermer et faire, ont la même racine, l'addition de ces mots nous dit : fermer en-fer, verrou ou vers ou ? ont la même indication.
Le fer est un métal lourd et solide, il est celui de notre mental intellectuel, féru de logique en tout genre, il est forgé avec la même rigidité, d’où la recherche d'une solution, qui est un dissolvant. Un dissolvant capable de dissoudre les mailles de nos chaînes, boulets, grilles, barreaux, portes... Pour sortir de notre prison psychique.
Le solvant de la pensée intellectuel est, le doute, il dissout les maillons de la certitude aveugle. Une remise en question passe toujours par la solution qu'est le doute.
Réussir, ce terme est un vecteur de l'illusion tant il est mal définit ou mal compris. Dans nos sociétés dite de progrès et de modernisme, il conduit l'ego à sa pleine mesure sous peine de son opposé qu'est l’échec, il instaure la Compétition.
La réussite qui est compétition donc, est associer à la possession, cette possession, est l’ensemble de matière (matériel) engrangé en guise de repères de cette réussite, plus je possède, plus haut je serais dans le classement de la survie.

La liberté et l'ordre d'une ternaire

Ternaire, désigne une structure basée sur trois éléments en un seul.
La ternaire (en savoir plus).
Mécaniquement, l'information induit l'émotion, qui se manifeste mentalement par une pensée, cette énergie pensée se matérialise en un langage intérieur par des mots, ces mots se présentent à la conscience qui les sélectionne et les oriente selon le niveau de compréhension et d'évolution de l'individu et deviendra un acte, vertueux ou vicieux...
Une recette réussie, c'est l'addition de la qualité des aliments sélectionnés avec le savoir-faire du préparateur. Les mots, sont de la nourriture affective pour notre mental.
Donc, si la pensée est corrompue, la parole et l'action en seront affectées. Penser, Être-libre, c'est avant tout un discernement sur le sens des mots et leur valeur à travers un acte. La pensée, énergie sous forme d'onde, oscille et c'est le cœur qui la pulse. Le cœur, cette pompe a pulsé les pensées (informations) et le sang à travers l'organisme.
Le sang transporte de : l'alimentaire par un composé sous trois formes: organique, affectif et respiratoire (l'oxygène).), c'est également le régulateur du système nerveux (informations) et du système moteur (actions).

Conclusion

L'homme, a un besoin viscéral de liberté de penser, de s'exprimer et d'agir selon son propre choix, il est désireux de vivre, créer, réaliser et de s'accomplir pleinement dans sa courte vie. Pour cela, il doit absolument être libre.
Le monde dans lequel nous vivons est lui même soumis au principe de cause et d'effets, par-conséquent, tout actes quelle qu'en soit sa valeur, engendre des effets. Les effets, selon le principe de polarité, seront de l'ordre soit de l'agrément (le bon) ou de la souffrance (le mauvais).
Nous sommes tous soumis et sans aucune exception à la même configuration, mais pas aux mêmes paramètres, nous rencontrons les mêmes difficultés, mais pas les mêmes épreuves, etc.
La liberté, c'est l’élévation de la conscience vers plus de capacités, de richesses (spirituel) et de pouvoirs sur soi. Cela, implique une démarche constante et régulière, et à chacun selon son dû et ses aptitudes. Les multiples expériences, positives comme négatives, ne sont pas à considérer suivant l’angle du bon ou du mauvais. Toutes produisent une richesse, et les plus négatives sont souvent plus enrichissantes que les positives, à condition de faire l’effort d’extraire l'enseignement que ces expériences contiennent.
Le pire serait de ne rien faire, et de ruiner son temps de vie dans un immobilisme spirituel. Cependant, nous sommes libre de choisir la valeur qui sera notre, entre les multiples facultés du vice et ou celles de la vertu.
En résumé, être libre, ce n'est pas faire ce que l'on veut, mais ce qui ce doit, c'est avant tout avoir une conscience éclairer, par l'exercice du discernement et la maîtrise du sens et des valeurs à l'aide de son libre arbitre et le sens de la responsabilité qui en découle.