Les sciences
La science, est par excellence la discipline d'étude de la matière.
Du latin scientia, connaissance, celle-ci, relève Historiquement de la philosophie, et fut pendant longtemps un exercice spéculatif visant à élucider les mystères du monde par l'exercice de la raison.
À la fin du Moyen Âge, la science s'est progressivement détachée de l'emprise de la théologie et de la philosophie.
Au cours de son histoire, elle s'est structurée en disciplines scientifiques :
- mathématiques
- chimie
- biologie
- physique
- mécanique
- optique
- astronomie
- économie
- sociologie…
Mais proposer une définition, c'est déjà adopter un point de vue particulier, car celle-ci pose, comme vrai ce qui est : vérifiable partout et en tout temps !
Ce qui, évidemment tout le contraire de la vérité, qui elle est :
un processus en constante évolution...
En résumé, la science se fige, lorsqu'elle tend à nous faire 'croire' qu'elle détient la vérité, ou ce qu'elle tient pour vrai.
Elle devient dogmatique à son tour et s'enferme dans l'illusion d'une unique vérité. Alors que l'essentiel de sa démarche était la lutte contre le dogme et la pensée unique.
La science est avant tout un langage.
De ce point de vue, la science nous apporte un regard et un descriptif qui complète notre vision
de la matière et améliore notre relation à la vie dans son ensemble. Bon nombre de technologies
ont améliorés nos quotidiens par l'apport de la science.
Cependant la science, ne se limite pas seulement à l'étude de la matière et des caractères, elle pose aussi et surtout la question la plus fondamentale de toute : d'où venons-nous, ou allons-nous et qui sommes-nous ?
La physique, science théorique par excellence, mais pas que, pour l'essentiel, se base sur des théories mathématiques pour élaborer des concepts et des postulats.
Et selon la démarche scientifique, la plus résistante aux stipulations, voir à l'expérience, sera retenue comme une éventuelle vérité, tout du moins le chemin à suivre dans le cadre de sa recherche.
La physique Quantique
Discipline récente dans l'histoire de la science, elle étudie le cœur même de la matière, c'est-à-dire l'infiniment petit que l'on appelle le microcosme, elle ne se contente pas seulement d'étudier que la mécanique de celle-ci. Et à ce propos, elle bouscule de beaucoup la science dite classique, qui est plus orientée vers l'infiniment grand ou macrocosme et toute la mécanique qui régissent les objets, telle que les planètes, étoiles, quasares, galaxies...
Le principal antagonisme qu'elles rencontrent est de taille, lorsque la physique classique élabora les quatre lois qui régissent l'univers, à savoir :
- la force électromagnétique
- la force nucléaire
- la gravité
- la force faible
pour les objets de grande taille, celles-ci ne s'appliquent pas toutes dans le monde microcosmique, en particulier la gravité.
Le monde des atomes et surtout celui des particules qui les constituent, ne réagissent pas de la même manière que les planètes étoiles, systèmes solaires, etc.
Bien des théories ont été élaborées pour tenter de les unifier, mais aucunes ne parviennent à s'imposer avec évidence.
La science classique est d'une certaine façon déterministe, tout est prévisible dans sa mécanique, elle serait une espèce de destin ou tout pourrait être lu à l'avance, hors, il n'en est rien et pour cause, la physique quantique en serait le chaos ou l'imprévu sur le chemin de ce même destin, elle s'oppose à la mécanique.
Qu'en est il, vraiment ?
Il serait bien présomptueux d'affirmer quoique ce soit, tant la complexité est élevée. Néanmoins, il parait évident, que la physique classique serait du domaine des objets dit inertes, inanimés, etc.
Alors que la quantique, serait la science du vivant, mieux, pour cette physique, tout est vivant, puisqu'il s'agit de l'énergie qui sous tend le tout dans son ensemble.
Entre le vivant et l'inerte, la différence qui existerait serait de l'ordre du rythme ou de vitesse pour reprendre une expression plus scientifique.
Nous constatons en permanence que, ce qui est petit et léger, va plus vite que ce qui est grand et lourd, à l'échelle atomique, c'est infiniment plus petit et plus léger, que ce qui parait à l'œil.
Cette différence de rythme ou de vitesse, se traduit par une perception qui s'interprète à différentes échelles.
Comme une personne âgée, ne va pas au même rythme qu'un plus jeune, la perception de l'être humain, pour rappel est le dernier arrivé dans le cycle de cette nature, puisqu'il est précédé par les animaux, les végétaux et les minéraux.
Et à ce titre, nous allons beaucoup plus vite que l'ensemble des autres catégories. Il faut relativiser cela, comme il existe une différence entre le jeune et l'âgé, au sein de chacune des autres catégories il existe également cette différence de vitesse.
À l'échelle générale, le minéral nous parait inerte, alors, qu'il ne l'est pas, c'est ce qui explique cette physique quantique.
Mais, la véritable révolution que nous apporte cette nouvelle science, se situe surtout au niveau de l'interactivité qui existe entre les éléments.
Il y a interrelation entre l'observateur et l'objet observé, comme elle existe entre un individu et un autre.
C'est un échange d'énergie qui s'opère et qui modifie le comportement dans les deux sens. L'observateur influe l'objet qui en retour modifie le sens ou l'approche de l'observateur.
Ceci, confirme la subjectivité dans sa particularité, lorsqu'une expérience ne donne pas le même résultat d'un individu à un autre, c'est en raison de cette interactivité.
En général dans le milieu ou en réalise les expériences, pour être sûr d'avoir un même résultat, on les confis aux mêmes protagonistes, au prétexte d'un certain savoir faire, voilà comment une certaine élite produit des pseudos...