LA LIBERTÉ
Tout homme aspire à être libre, de circuler, d'exprimer ses pensées et d'effectuer ses propres choix.
La liberté concept philosophique sans doute le plus prôné à travers le monde.
La liberté, en ce monde relatif, se heurte à plusieurs barrieres. Nombreux obstacles sur le chemin, qu'elle soit collective ou individuel, politique, social, morale, partout on doit faire face à des contraintes, voir des restrictions.
Déterminisme et libre arbitre.
Le débat sur le sujet est long et fastueux, depuis toujours, il anime les conversations, pour certains, tout est absolument déterminé et qu'il n'existe aucune possibilité d'échapper au déterminisme, donc de choisir.
Pour d'autres, au contraire , nous sommes libres malgré un départ déterminé, nous pouvons nous en extraire et agir comme bon nous semble, qu'en est-il ?
Le déterminisme : se définit par un conditionnement, un individu vient au monde dans une famille, une culture, une religion, un pays dont les règles de fonctionnement sont imposées et il devra s'y soumettre sous peine de rejet par la société. Ce qui d'un point de vue de la conscience, n'est pas choisi, donc subit, par conséquent la vie de cet individu est déterminé.
Le libre arbitre, comme il est défini, est la faculté qu’aurait l'être humain de se déterminer librement et par lui seul, à agir et à penser, par opposition au déterminisme ou au fatalisme. C'est la liberté de choix, car toutes les valeurs de la société dans laquelle évolue notre individu, sont arbitraires. Elles ont été choisies et mise en place à des époques qui ne sont pas la sienne et conçues par des gens qu'il ne connaît même pas. Donc, une certaine légitimité lui confère la possibilité de s'en détacher pour se sentir libre.
Au nom de quelle autorité doit-il soumettre sa précieuse vie, pour le dire autrement quelle autorité peut avoir un droit sur la vie d'autrui et lui imposer des directives ?
Résumé de cette dualité, c'est que nous sommes tous soumis et sans aucune exception, aux mêmes paramètres, et nous rencontrons les mêmes difficultés.
L'homme, est désireux de vivre, créer, réaliser et de s'accomplir pleinement dans sa courte vie. Pour cela, il a un besoin viscéral de liberté de penser, de choisir et d'agir, et se doit absolument de l'être.
 ce titre la société dans laquelle il évolue ne le lui permet pas toujours d'accéder à ses trois libertés, voir à aucune d'entre-elles.
En raison des nombreuses, lois juridiques et autres règles traditionnelles et culturelles, qui veillent à leurs respects et leurs maintiens, car, garante de l'équilibre de la vie de ladite société.
L'homme se trouve déchiré entre :
- le besoin de conserver son histoire, sa culture, par peur d'être isolé, coupé de la vie collective dont il a tellement besoin pour son épanouissement.
- l'envie de s'affranchir de tout conservatisme et braver haut et fort son choix personnel par la voie d'une liberté dite absolue.
- et la liberté impliquant des devoirs donc des contraintes, qui le soumet à trouver un équilibre entre son passé, son présent et son futur.
À la dualité du libre arbitre et du déterminisme, s'ajoute celle de la liberté individuelle et celle du collectif.
être totalement libre pour se retrouver isolé est un non-sens, une absurdité.
Subir la loi étouffante de la convention humaine, relève de l'esclavagisme mental, l'individu périt, se meurt ou devient violent, ce qui dans tous les cas le condamne.
La confusion
Ce débat stérile, semble être dû à une erreur suite à la confusion de certains principes.
Les principes de polarité, de cause et d'effet sont interpreté de façon erroné par l'intellect raisonneur.
La logique intellectuelle, se refère aux causes visible du monde relatif pour expliquer les phènomènes, par conséquent, des interêts égotiques d'où découle ses lois et ses valeurs morales douteuse.
L'ordre souverain de la création est Absolu, il contient les sept principes immuables et éternel, régissant toutes choses. Ses lois, s'appliquent à travers de multiples vibrations simillaires, mais, elles se déclinent sous diffèrentes formes ou apparences, dans les multiples mondes. Il a pour nom : la Providence, sa polarité est ce que l'on désigne par le terme de déterminisme, ce qui n'est autre que celui de : Destin.
Le destin est synonyme d'absence de liberté, car l'individu, atrophié de sa conscience. Il subit les événements, les situations lui semblent surgir accidentellement, du hasard, de la chance, malchance, il perçoit la vie comme une fatalité...
La liberté, a pour polarité, ou contraire celui de la Nécessité.
Donc, être libre ou pas est une dépendance à notre trivialité entre subvenir à nos besoins fondamentaux, avec toute la gourmandise que cela induit, où nous contenté de peu et nous libérer au maximum de celle-ci.
La question sous-jacente, est, sommes-nous conscients où est-on dans l'ignorance même de nos propres pensées ? Force, est de constater, que dans la société d'hier comme celle d'aujourd'hui, notre intellect est sous le joug de l'égo. Entre la nécessité d'un corps sensoriel, avec tous ses besoins, manger, boire, dormir, l'abri du chaud et du froid, la sécurité, etc. Et celle d'un corps intellectuel, qui est d'être passionné, exalter, rêver, explorer, jouir, etc. Or, l'individu, se heurte au mur de la réalité, qui exige de l'humilité, frugalité, tempérance, sobriété, etc.
Le principe de polarité, implique le droit et le devoir auquel l'égo ne peut se soustraire, sauf à se rendre malade, où perdre la raison si chère à son intellect.
Les obstacles de la liberté
Le principal obstacle à la liberté se trouve donc dans son opposé, son contraire, qu'est donc, la nécessité.
L'intellect du monde mental, est un plan qui se situe entre le corps organique et le spirituel. Il est mu par l'énergie émotionnelle et il est identifiable par l'égo.
L'ego, pour la majeure partie de son mode de fonctionnement, se réfère à son corps physique, qu'il tient pour son identité. Par cette d'identification, il ne se différencie de l'inconscient que par le raisonnement. L'intellect, utilise la raison, la logique, la réflexion, l'intelligence, cependant, son mental manipule uniquement des concepts à partir des images que lui procure la matière organique. L'abstraction impose plus d'imagination (subtilité) et d'intuition(légèreté) que ne requièrent l'épaisseur et la lourdeur de la matière figée.
Le corps organique est mu par l'énergie fossile périssable, l'intellect est toujours à la recherche d'une satisfaction de ses besoins fondamentaux, par son intelligence fraichement acquise par son évolution, il élabore des stratégies de chasse et de cueillette plus sophistiquée.
L'intelligence, est une fonction et à ce titre, elle est dénuée de valeur elle agit avec la même agilité dans le bien comme dans le mal...
Ceci, est pour la présentation du mode de fonctionnement et de l'état d'avancement de l'intellect. En conclusion, il est, pour l'essentiel de son intelligence guidée par son instinct de préservation lié à la nécessité. Et aveuglé par ses émotions qu'il confond avec les vertus, forme le principal obstacle pour accéder à la liberté.
Qu'en est-il de la liberté dans le monde?
Soit le changement que tu veux voir dans le monde, cette maxime de GHANDI est toujours d'actualité, car c'est une vérité universelle.
Les citoyens lors de chaque manifestation, rassemblement, sommet, etc. revendiquent pour l'essentiel toujours un peu plus de liberté.
Or, cherché la liberté dans les lois façonné par l'homme, c'est vouloir changé le monde sans se changé soi-même, ce qui est contraire à la conscience.
De plus c'est précisément l'objet des lois, imposé par des individus qui sont les premiers à la braver, elles ne sont là que pour assuré la liberté de ceux qui les rédigent. Les lois humaines ne sont que le reflets de ce qu'ils sont, à l'exeption des doits universel que sont les droits de l'homme, inscrit dans la constitution, mais peu respecté...
La liberté une notion relative.
En Occident comme en orient, partout dans le monde nous retrouvons les mêmes difficultés : comment organiser une vie sociétale ou l'individu serait libre, sans nuire à l'équilibre de celle-ci.
Or, l'équilibre est une constante difficile à maintenir, sur les plateaux d'une balance, nous disposons d'un côté l'individu et sa liberté et sur l'autre, le collectif et son ordre.
Le désordre est perçu comme une menace à la sécurité des citoyens, puisqu'il s'oppose à l'ordre établi.
Dans le langage, les termes sécurité et sécurisé sont très proches et ne sont que le vocable de la vertu qu'est la prudence.
Dans les sociétés occidentales, l'évolution vers une sédentarité devenue quasi matérialiste, la peur de perdre ce que l'on possède a gagné de nos prudences.
L'instrumentalisation de nos peurs par les ego est un truchement pervers de la sémantique, qui a transformé sa définition.
Dans l'inconscient collectif comme individuel le terme sécurité a changé de sens, il est passé de prudence à insécurité, ce qui tend à inhiber toutes tentatives de liberté qui serait menaçante pour notre confort, qui n'est que la paresse déguisé dans le langage du politiquement correct.
Ainsi, l'attachement par l'ego à la matérialité et à la technicité a fini par substituer la liberté d'aimer avec celle d'entreprendre.
Où est le problème ?
Du souffle que l'on inspire, le désir de se réalisé, de s'accomplir est très intense au sein de notre Esprit, et qui ne cesse de nous le rappeler.
Être Libre, ne veut pas dire que nous sommes libres d'agir sans conséquence, à ce stade nous nous retrouvons en face des Lois de causalité et de ses principes de polarité, comme celui, de droit et de devoirs...
Ce qui caractèrise notre liberté, c'est notre libre arbitre, ce que aucune loi ne peut enlever ou supprimer.
C'est par notre libre arbitre, que notre conscience se dévelloppe, c'est notre discernement de ce qui est juste ou pas, et par le choix, nous pouvons oter où ajouter les bareaux de notre prison mentale.
Le libre arbitre ne se décréte pas par la loi humaine, il est naturel, il est ce qui fait de nous des êtres conscient, donc intelligent, lorsque l'on parle de droit, on se rabaisse uniquement aux lois concuent par l'homme, qui ne concerne qu'uniquement l'aspect physique de ce droit.
Et de ce point de vue, sur une population totale de 1 729 366 000 de Chinois et Américains réunis, 3 794 904 personne se trouvent enférmer dans une prison, donc privée de liberté physique.
Il reste à travers ces deux pays 1 725 571 096 citoyens disposant de liberté de se déplacer physiquement, pourtant, la grande majorité de cette populations libre de circuler, est prisonieres de ses propres conditionnements, faute d'exercer peu ou pas leurs libres arbitres, on fait ce que l'on nous dit.
Aveuglés que nous sommes, par les choix éffectuer par d'autres, car nous avons léguer notre devoir (de-voir), notre résponsabilité, notre autonomie, notre capacité à discerner par nous mêmes nos besoins et nos chemins.
Nombre de personnes pensent utiliser leurs libre arbitre sciement, or, peu de d'entre-nous en connaissent les fondamentaux.
Un libre arbitre non maîtrisé, basé sur l’ignorance et l’irresponsabilité, mène obligatoirement à l’ego et au matérialisme le plus primaire et le plus trivial et renforce le grillage de la prison.
Que la force soit avec toi, disait le Yoda personnage fictif de l'univers Star Wars, cette phrase résonne au plus profond de nous-même, elle vient nous rappeller que la force est la première des quatres vertus cardinales à laquelle il faut souscrire pour avancer dans la vie.
Il ne s'agit pas de la force physique, mais celle de la volonté mentale, celle de notre Ésprit, celle que la divine providence nous a transmit, elle est confiné au fond de chacun d'entre-nous, il n'appartiens qu'a nous par notre libre arbitre de l'utiliser ou pas.
Nous revendiquons sans cesse de la justice, mais, sommes-nous juste ? Il nous est impossible de la reconnaître si nous la cotoyons pas,
Nous ne serions pas l'identifier, comment peut-on être libre dans un monde qui serait injuste ? La liberté telle qu'elle est souhaité, s'obtient par le libre arbitre qui active la conscience et seule la conscience de l'être, nous rend ou pas libre.
La conscience
C'est par la conscience donc, que nous pouvons nous liberés de nos chaines mentale qui nous maintiennent au sein d'une prison que nous avons pris soin de nous construire.
Au pretexte d'un savoir, nous faisons toutes sortes d'études, formations, stages, nous rentrons dans des carrières professionelles, dont le status social peut nous hisser parmis les plus enviés, nous ammassons toutes sortes d'objets qui nous singularise des autres, etc...
Pourtant, bien que cela nous fasse avancer sur place, nous continuons à amélioré nos conditions de détentions... On change de travail, de maison, de voiture, de destination de vacances, etc... mais nous sommes toujours au seins de cette prison.
Une journée sans fin, est un film qui résume parfaitement nos comportements répétitifs, sans que l'on prenne la peine de se demander ce qui ne vas pas.
Le savoir, lorsqu'une chose ne fonctionne pas, nous nous arrangeons à l'adapter à notre intérêt afin de démontré notre capacité,
or, celà relève de notre mental égothique, de notre ignorance, du déni de la réalité.
La connaissance, est ce qui résiste au changement, contrairement au savoir qui est fluctuant selon les circonstances.
C'est ce qui reste de ce que l'on vit, de nos expériences, c'est ce qui a était éprouver, c'est le réel, et non pas ce qui nous arrange.
Plus les leçons, non pas au sens punitif, mais au sens apprenti-sage, conscient, est élever par la connaissance, plus le curseur de la conscience augmente.
Plus, s'ouvre un champs de vision nouveau, qui s'éloigne d'une vision simplicite, manichéenne, binaire, sans négliger l'intellect et son flot d'émotions qui nous maintiennent dans l'illusion d'un ressenti qui bascule par le biais d'un simple mot, du meilleurs au pire, dont la logique organique a le secret et à laquelle l'égo s'identifit en permanence.
Le réel est constituer de trois niveaux de lectures, plus excatement de vibrations, tel un instrument de musique sur lequel serait joué une même note, allant de l'octave inférieur et monte à la supérieur, bien qu'elle change de fréquence, elle garde le même timbre. La conscience est capable d'en lire ou joué sur trois plans, que sont :
- le plan physique, la conscience perçoit les effets.
- le plan intellectuel, elle perçoit les causes.
- le plan spirituel, elle perçoit les Principes.
Ses trois niveaux de lecture par la conscience, definissent le plan sur lequel nous pensons, exprimons et agissons.
- plan spirituel, c'est avoir une pensée juste.
- Plan intellectuel, vibrer d'une parole juste, par des mots approprier, qui résonne d'une sonorité qui soit l'exacte de la pensé,
- Plan physique, si les deux premières sont remplies, l'action ne peut qu'être juste et honnête.
La conscience bien que variable entre les individus, est précieuse, puisqu'elle est la rigueur, la cohérence qui permet à notre mental de se sentir en adéquation et en équilibre avec notre environnement culturel.
La raison c'est la synthèse entre la logique, la réflexion et les faits observés.
L'intuition est un mystère pour le mental égotique, point de logique et par conséquent aucune raison discursive.
Qui de ces faits, est opérationnel, aussi bien par la spontanéité d'une réponse immédiate, que par la patience qui avec le temps, l'ensemble des faits prennent place pour former au final, un système innovant et cohérent avec l'environnement.
l'intuition est l'explorateur, les informations qui nous parviennent de notre Esprit par le canal de la sensibilité sont hautement plus solides et plus réelles.
La conscience est un classificateur, par le discernement et le libre arbitre, fait le tri des informations qui lui proviennent de son milieu externe et interne par une hiérarchisation des valeurs.
Une liberté inachevée
L'inspiration qu'est la liberté, est une tendance et un vécu sous forme de rêve, la réalisation est son but ultime, la nécessité et l'exès de prudence (la peur) son frein !
Les populations aussi bien à l'échelle collective qu'individuelle, la clament, la chérissent et la portent, plus haut que tout autre objectif, érigé par-foi-s et à juste titre en valeur absolue.
Cependant, en lieu et place de ses rêves et ses belles revendications, dans les faits, l'être humain est, plus enclin à céder au dictat de la peur, de la tentation, de l'illusion, de la facilité qui par conséquent, renforce son sentiment d'insécurité et le pousse à trouver refuge dans les bras des tenants d'un discours sécuritaires, et à ce titre l'homme ne fait qu'améliorer ses conditions de détention, il repeint les murs de sa prison, il perfectionne sa cellule, mais il ne cherche pas à en sortir.
Au regard des faits, être libre, c'est être détenu au sein d'une prison confortable, telle serait la définition de la liberté.
Le recours à des représentants, qu'ils soient hommes politiques, hommes de loi par les diverses panoplies de lois juridiques anciennes comme nouvelles, des règlementations à n'en plus finir et ce, en Occident comme ailleurs, en atteste de ces choix et c'est encore plus vrai pour les régimes dictatoriaux, cela, démontre l'incapacité de l'homme à assumer ce qu'il désire le plus et qu'il nomme liberté.
Résumé
Ne nous pouvons vouloir être libre, sans connaître les principes et les rêgles qui régissent cette liberté.
Se laisser séduire par la sécurité (nécessité), c'est faire un déni de sa propre force, l'insécurité n'est qu'un excés de prudence.
Cessons d'avoir et de voir une peur castratrice de nos rêves et d'idéaliser plus que de raison l'illusion de la sécurité.
Le libre arbitre, n'est pas une liberté de faire ce que je veux, c'est une liberté de choix morale qui exige une responsabilité et une autonomie, qui mène à l'amour.
Un libre arbitre non maîtrisé, basé sur l’ignorance et l’irresponsabilité, mène obligatoirement à l’ego et au matérialisme le plus primaire et le plus trivial et renforce le grillage de la prison.
Fuir la souffrance est légitime tant celle-ci happe nos vies de sa puissance, néanmoins, pour la plupart du temps, elle n'est que le résultat de nos propres peurs, de nos illusions, de notre ignorance et de ses projections et pensées négatives.
Une vie que nous jugeons sans cesse par un désir de contrôle pour ne pas souffrir.
Se libérer en premier lieu de sa propre peur pour gagner la vraie liberté que la vie nous offre !
Et que nous avons tendance à fuir...
Harmoniser les trois niveau de lecture par l'utilisation de la conscience.
L'Esprit ne peut induire de la souffrance qui est probablement la plus grande partie de nos peurs.
L'Esprit est pure création et pure liberté il ne peut que libérer et soulager nos craintes, nos peurs et nos souffrances, qui ne sont rien d'autre que le fruit de nos dénis et de notre ignorance.
Sommes-nous en pouvoir de nous libérer ?
Autrement dit, pour les adeptes de la dualité que sont le déterminisme et le libre arbitre :
- Déterminisme : la loi de la causalité est une réalité indépassable, les gènes, la culture et l'histoire nous imposent un terrain d'exploration obligatoire, donc déterminer. On ne peut pas retourner dans le ventre maternel, choisir de renaître autrement, de tout recommencer, etc...
- Libre arbitre : est en chacun de nous, mentalement comme spirituellement, aspirons à la liberté.
Le libre arbitre n'étant pas une liberté de faire absolument ce qui me plaît, ce que je veux, puisqu'il implique les contraintes du déterminisme, mais ce sentiment viscéral en tout en chacun, est une liberté de choix d'ordre morale.
La liberté, elle se gagne, non par un conflit avec les autorités ou toutes formes du monde extérieur, mais avec nos propres vices, nos illusions, nos rêveries et les nombreuses tentations qui nous détournent du véritable chemin qui est le nôtre.
C'est à ce titre que la liberté se mérite et se résume à ces deux questions :
- est-ce que je veux me réaliser pleinement, améliorer ma confiance et vivre en harmonie avec le monde ?
- Ou continuer à cultiver ma différence et nier l'appel et le potentiel du coeur ?
Agrandir sa conscience mentale, par la connexion à notre moi profond pour retrouver la foi (voir l'émotion) source de confiance qui est la voie dite sensible vers notre Esprit lumineux et créateur pour éclairer notre lucidité sur le réel et la voie de la liberté sans contrainte, puisque aimante.