Fusil, le feu du disparu : l'étincelle de vie éteinte

Déclencher un feu pour éteindre un autre
Dans ce texte, le terme "fusil" est utilisé avec une ironie subtile, évoquant à la fois l'arme à feu et la mort qu'elle engendre. Les moines copistes, par leur jeu de mots, soulignent de manière humoristique le pouvoir destructeur du fusil, transformant "fusil" en "fus-il", ce qui évoque le questionnement sur l'existence : "il fut". Cette ironie s'accompagne d'une réflexion sur la vanité de la question, laissant le lecteur dans un état de suspension, entre le sérieux de la mort et la légèreté du jeu de mots. C'est un mélange d'humour noir et de réflexion sur la vie et la mort.