Pour les adeptes de la raison pure, au-delà de cette limite, vos pensées ne sont plus valables...

- Sans vertu aucune action, si vouable et admirable puisse t'elle paraître, ne peut être juste, car, la justice elle-même est du ressort de la vertu -

Lettre P

Des oiseaux de par leur symbole volatile et de légèreté, sont au plus prés du ciel

La lettre P

La lettre P, symbole de : La transmission, le père, force stérile, la papauté, force supérieure, le pharaon, Pin, pénis, pinacle, priape, Pan, force dirigée vers l’intérieur.

Paix

La paix, tout le monde la cherche, la souhaite, elle le principal constituant du bonheur.

Définition :

  • Officiel, Dictionnaire :
    la paix est un concept qui désigne un état de calme ou de tranquillité ainsi que l'absence de perturbation, de trouble, de guerre et de conflit. Elle correspond également à un idéal social et politique.
  • Symbolliques des lettres :
  • P : La transmission – Le père – Force dirigée vers l’intérieur.
  • A : Premier – Commencement – Air – Feu –
  • I : L’unité – L'un – Dieu – Intelligence – Idée – Intuition – Incarnation – Transcendance.
  • X : L’axe de toutes choses – la galaXie – rencontre de deux énergies, échange – circulation – carrefour.

Traduction : la force dirigée vers l'intérieur P est ce qui est le commencement A, de l'unité, de l'intelligence I, qui est l'axe de toute chose X.

Explication : la paix, est notre unité, elle s'obtient par notre force intérieure qu'est la résistance au pouvoir magnétique de nos vices, de nos egos.
L'ego est le symbole de notre individualité et par extension de l'individualisme. L'unité se doit d'être l'axe de toute pensée, avec force et constance, lutter contre nos multiples vices, car, le monde extérieur ne changera que si individuellement nous changeons, nos pensées, nos paroles et nos attitudes. Soit le changement que tu veux voir dans le monde, disait l'illustre GHANDI.

Conclusion : un principe incontournable nous indique que : nul ne puisse s'élever s'il ne parvient pas à élever les autres. Or, dans nos sociétés, qui ne sont que les reflets de nos émotions, la pratique de l’immoralité est une norme, l’ambition dévoreuse, la convoitise sont hissées en symbole de réussite. On ne jure que par la passion, les désirs. sans parler de nos convictions dont on a hérité de l'histoire. La culture, les traditions, les religions, la famille, le groupe, le politique nous ont transmis et façonné nos pensées, bien que nous sachions pour la plupart d'entre-elles soient erronées, nous continuons leurs pratiques et leurs transmissions. Le sectarisme, la jalousie, la haine, la colère et tant d’autres discriminations. Comment être en paix, si tous ses démons ne sont pas apprivoisé. Peut-on être en paix si l’on est dans l’incompréhension de soi, des autres, de son rôle, de sa propre vie ou destinée ? Comment être en paix, si l'on ne comble pas notre vide intérieur, que l’ennui nous guette, la présence d'un mal d’être autour de nous. La déprime qui se lit sur les visages, l’abattement, les mauvaises humeurs, la tristesse, l’aigreur, l’amertume, les rancœurs, sont autant d'attitudes présentes dans nos quotidiens de près comme de loin.
Toutes ses afflictions nous accablent, blesse, diminue, contamine, il nous est impossible de nous en soustraire et ils nous ne laisseront jamais en paix. Les lois qui gouvernent l'évolution ont pour principe qui veut, que nul ne puisse s'élever s'il ne parvient pas à élever les autres. Donc, tant que d'autres seront dans la pauvreté, la misère, la souffrance, le centrage sur nos fragilités, nos faiblesses personnelles, ne nous permet pas un instant d'envisager l'accès à l'harmonie, condition incontournable pour vivre dans la sérénité et la paix.

Paradis

Le paradis, lieu de tous nos fantasmes et autres rêves les plus élaborés dans notre imaginaire, demeure une énigme.
Les tenants d'un ailleurs idyllique, promis à toute personne de bonne moralité.
Et leurs adversaires, pour qui tout ceci, n'est que fantasmes et rêveries.
Et d'autres qui considèrent que l'enfer, comme le paradis est ici, sur cette terre.
Sa définition en langage symbolique :

  • P : La transmission Le père.
  • A : c'est le : aleph qui signifie en Hébreu, faisceau lumineux, c'est le commencement, ce qui est premier, l'esprit.
  • R : Le souffle, L’élément air (l’état gazeux).
  • A : La lumière (faisceau lumineux du Divin), Le commencement, ce qui est Premier ou L'esprit.
  • D : issue du mot égyptien DELTA, qui évoque la porte, ou ce qui vient de la porte.
  • I : c'est Dieu, l'un ou l'unité.
  • S : c'est le mouvement dans tous les sens.

Conclusion : c'est là, (P) transmission de la lumière (A) par le (R) Souffle, que l'esprit A qui provient de la porte (D) que le Divin I exprime S ou diffuse sa lumière.

Traduction : c'est la lumière que le divin transmet par son souffle et qui nous parvient à l'esprit, qui nous éclaire.
La lumière est l'opposé de l'obscurité (enfer pour certains) et de l'ignorance (synonyme de souffrance), elle éclaire et réchauffe nos cœurs...
Conclusion, le Divin est présents partout et seuls, celle et ceux qui lui ouvrent leurs portes peuvent percevoir sa lumière et vivre de son amour, sur terre comme ailleurs.

Paraisse ou paresse

La paresse, est sans nul doute, le vice le plus étendue dans le comportement humain. Et elle a de multiples facettes, pour la débusquer, il faut commencer par lutter contre son attractivité, ce qui n'est pas une mince affaire. Surtout lorsque l'on sait que notre intellect, en fin stratège qu'il est, trouvera toujours une bonne raison... Parmis l'une d'elles, il y a le paraître, ce verbe conjugué au présent, nous le chante bien : que je paraisse, que tu paraisses, qu'il paraisse, que nous paraissions, etc. Il nous démontre à quel point, nous sommes passé maître dans l'art de dissimuler la paresse. Le confort, est probablement, le terme le plus courant pour masquer cette déclinaison de la paresse. Certes, on rétorquera, qu'après des journées bien remplies par le travail, on est en droit (après le devoir) d'en faire le moins possible. Toute la légitimité, d'une telle affirmation... Cependant, la réalité est que nous sommes corrompus par des activités auxquelles nous ne souscrivons pas. Nous sommes des esclaves d'un système qui nous dévore pour mieux disposé de notre paresse de réflexion, de sens...

Partage

La notion de partage est courante dans les propos humains, que ce soit dans la matérialité, l'affectif ou simplement dans une conversation, elle est d'une certaine façon et à des proportions divers, partager ne serait-ce que dans l'idée.

  • Dictionnaire : action de diviser une chose en portions, en parties : un repas, un moment, une souffrance, un pouvoir, un butin...
  • Syllabique : Part-age, la part ou partie d'une vie (âge), que l'on doit consacrer aux autres, être au service d'une cause...

Par la symbolique des lettres :

  • P : La transmission – Le père
  • A : Aleph, qui signifie en hébreu : Faisceau Lumineux, – Le commencement – Premier – L'esprit.
  • R : Le souffle – L’élément air
  • T : Les racines – L’élément terre. (État Solide de la Matière)
  • A : Faisceau Lumineux, – Le commencement – Premier – L'esprit.
  • G : Aller chercher à l’intérieur – La curiosité
  • E : Le monde -> les trois éléments : matériel, spirituel, divin, relié par l’unité.

Traduction : transmettre P la lumière A par le souffle R les racines T en premier A cherché à l'intérieur G du monde E.

Explication : chercher la lumière que l'on a reçue par le souffle divin en allant à l'intérieur, au fond de soi et la diffuser dans le monde :

Conclusion : Le partage est une notion qui relève de la morale, elle est l'addition de l'empathie et de la générosité.
Consacrer une partie de notre vie aux autres, peut paraître évident pour certaines personnes, tant nous nous dévouons pour nos familles, nos enfants, nos partenaires, nos amis, nos collègues, etc.
Sauf que là, c'est un partage subit, car il en va de notre intérêt et de notre équilibre, de notre monde personnel, il sert notre propre cause... cependant, le vrai partage, consiste à donner sans rien attendre en retour. Il s'apparente en cela par son origine morale à l'amour dans ce type de manifestation.

Passerelle

La passerelle symboliquement une conjonction entre deux mondes. En spiritualité c'est ce qui relie le visible à l'invisible et vice et versa.

  • Passer : verbe qui consiste à désigner la voie empruntée par le marcheur.
  • El : en langage sémitique, El, signifie ce qui est au-dessus de tout, c'est le symbole de Dieu.

Conclusion : une passerelle est le lien qui doit servir à nous relier à El, donc à la déité. C'est un pont individuel, qui permet à tout un chacun de traverser (à travers) et rejoindre l'autre rive, celle du mystère créateur pour en faire connaissance.

Pernicieux

Le pernicieux est une caractéristique du vice, sous couvert d'une bonne intention, l'objectif est la nuisance.
père, ni, cieux, le père étant le symbole protecteur, lorsqu'il néglige ou ignore les règles des cieux qu'est la vertu, se transforme en bourreau d'un acte malveillant.

Persévérer

Persévérer, est assimilé comme une attitude qui consiste à insister pour réussir.
C'est la contraction de : Percer et vous verrez, percer quoi pour y voir quoi ?
C'est observer par une présence totale (la connexion), pour dépasser l'apparence de l'image et voir, la lumière qu'elle cache.
C'est dépasser le savoir pour trouver la connaissance, toute chose possède une âme et l'âme est en toute chose, c'est cela la lumière divine qui se dissimule en dessous des apparences et leurs images.

Perversion

La perversion se définit selon les trois source suivantes :

  • Officiellement (dictionnaires) : la perversion dans un sens général se définit comme : une inclination à des conduites considérées comme « déviantes » par rapport aux règles et croyances morales d'une société.
  • Syllabes (langue d'oiseaux) : per-version, ou autrement dit nous qualifions selon le type d'acte commis, au sens moral, d'un fait d'ordre masculin (le principe), car, il est affilié au père.

Et selon la symbolique des lettres :

  • P : La transmission – Le père (Pin, Pénis, Poil,)...
  • E : Le monde -> les trois éléments : matériel, spirituel, divin qui sont reliés par l’unité.
  • R : Le souffle – L’élément Air...
  • V : Vase – Réceptacle Masculin – Rassemble en un point...
  • E : Le monde -> les trois éléments...
  • R : Le souffle – L’élément Air...
  • S : Manifestation – Le mouvement dans tous les sens...
  • I : Lien vertical – Un – L’unité – Dieu...
  • O : Le corps – L’esprit – L’eau – Haut...
  • N : Le retournement – Transformation – Changement – La Haine...

Conclusion : le père P, du monde E souffle R contenu V dans le monde E, un souffle R qui se manifeste S en lien I que la totalité O à transformer N...

Traduction : le principe masculin (le père ), en soi (monde), doit permuter, changer (le mouvement) son souffle (l'énergie) pour former un lien vertical avec l'autre soi(monde) qui est le féminin pour obtenir leurs totalités ou leurs unités.

Explication : dans sa conception du divin, l'homme a représenté celui-ci à son image, parce qu'il est dit dans les textes sacrés que Dieu a fait l'homme à son image, hors, les premiers lettrés qui ont interprété ces textes, vivait à une époque où la parité homme - femme n'était pas encore d'actualité.
La force physique était dominante sur la sensibilité, celui qui fait et dicte la loi était le plus fort, il en était le guide.
Un guide dans un monde de survie, ceux qui dirigeaient les états, étaient davantage des guerriers que des sages.
Lorsque les sages, les érudits, les philosophes tentés d'éclairer ces hommes de pouvoirs, ceux-ci, comprenaient le sens en fonction de leurs nivaux de lecture de la réalité de ces époques, si bien, que Dieu était un personnage fait à leurs images, c'est la première perversion.
Un homme, c'était avant tout du muscle, loin de la vision d'une éventuelle sensibilité, telle que l'on se fait aujourd'hui.
La sensibilité, n'était que du domaine féminin, l'homme c'est avant tout un corps, une machine...
De nos jours, subsiste encore cette vision, peu de personnes comprennent qu'en réalité, le féminin et le masculin, sont deux principes fondamentaux en chaque être humain, qui forment une dualité.
Bien que la connaissance nous apprenne, qu'en chaque être qui dispose d'un cerveau, a ces deux principes en lui.
Le cerveau, possède deux hémisphères, le droit et le gauche, bien qu'il ait des fonctions différentes, ils n'y travaillent ni ne coopèrent ensemble, ils sont UN, le U qui est le réceptacle féminin et le N la permutation.
Le cerveau est avant tout orienté par le principe féminin, cependant, la femme a également un principe masculin, qui aura aussi contribué à la violence dans l'histoire, elle en est tout autant que l'homme cet héritage...
Comme le dit le dicton, derrière chaque homme, il y a une femme et l'inverse est tout aussi vrai, de nos jours certaines femmes sont aussi violentes par leurs propos et pas que... La guerre des mots, des clans, des statuts, etc. Ou est l'amour dans tout ça ? La tendresse si féminine dans son principe a disparu dans l'attitude de certaines femmes, qui en retour n'ont pour réplique que : "c'est typiquement masculin que de vouloir asservir la femme par la tendresse", une telle réponse montre déjà, que nous sommes plus dans la féminité, mais du discours atypique du modèle guerrier masculin qui à jalonné l'histoire...
Certaines féministes, de par leurs discours et leurs attitudes, de vouloir à juste titre défendre une certaine cause, tombent dans le piège de la reproduction du pouvoir par le modèle masculin.
L'amour, la douceur, la tendresse sont du fait féminin et leurs apparitions dans les sociétés d'aujourd'hui, est un phénomène relativement nouveau et qui date d'environ deux siècles, c'est ce que l'on appelle la libération de la femme. C'est lorsque la femme, quittant son village natal, se rendant à la ville pour travailler, qu'elle a pu se détacher de l'oppression traditionnelle. Par le gain du salaire, elle a trouvé son autonomie et c'est de là que naissait le mariage choisi et par extension : l'amour.
Auparavant il était imposé et subit, le mariage n'était qu'un pacte d'arrangement entre les familles pour des raisons d'intérêt, car, la ferme familiale était l'unique modèle de productions alimentaires et il fallait garder l'acquit.
La tradition et les religions ont maintenu ce mode de vie hérité d'un lointain passé et qui enfermait l'homme durant des millénaires. C'est l'inversion du père et du modèle masculin.
Rappel, qu'être un homme, c'est faire partie de l'espèce en tant que telle, il n'est pas synonyme d'un sexe quelconque, il ne définit pas le masculin ou le féminin. Il n'existe pas de terme homme pour désigner le sexe masculin, alors que, la femme en possède un, certes, les spécialistes du langage écrit nous ont appris que lorsque l'on définit l'homme en tant qu'espèce, s'écrivait avec un H majuscule et pour le sexe masculin fallait écrire le même terme mais avec un h minuscule, pourquoi donc a-t-on diminué ce trait vertical, n'est-ce pas pour nous signifier que le H majuscule est un symbole qui représente la balance ou la porte qui fait le lien entre le haut et le bas, l'intérieur et l'extérieur n'est-ce pas une confirmation que notre sensibilité est d'orientation féminine !
À moins que, comme beaucoup de guerriers le pensent, ça serait pour mettre de la zizanie entre les deux sexes...
Curieusement, en langage oral, ce problème n'existe pas, il n'y a pas de grand-e H ou de petit-e h hache, pas de quoi se faire la guerre, puisqu'il s'écoute donc on s'entend...

Conclusion : l'Homme est avant tout une espèce, qui possède deux principes en lui, l'un est féminin et l'autre masculin.
La définition nous dit, que l'on soit femme ou homme, nous devons nous découvrir et réconcilier l'autre moitié de nous-même, pour trouver l'unité et être aligné pour recevoir l'équilibre créateur... Article sur les principes féminins et masculins.

Précieux

Le mot évoque son contenu sans difficulté.
PRÉCIEUX ou pré-cieux, près-des-cieux, dit d'un objet ou d'un être qui aurait atteint un niveau de pureté, de légèreté, suffisant pour s'envoler
vers les cieux... près-des-cieux dont la symbolique au sein de l'inconscient collectif, est de se rapprocher de l'éternité, de l'infini et l'absolu.

Pie

La pie, que vient faire ce volatile, qui de surcroit est bavarde comme une...Voleuse et curieuse ?
Les Oiseaux en régle général, sont un symbole fort dans l'inconscient humain, ils sont les intercesseurs entre le monde matériel et l'intelligible ou l'invisible, dans ce monde réel ils représentes les anges, qui comme eux ont des ailes, comme eux ont un langage à double sens, en direction des humains, mais également en direction du grand esprit.
Le terme Pie forme la racine de certains mots comme :

  • Pieu
  • Pieuse
  • Piétre : c'est lorsque nous nous éloignons de ce qui est la bonne direction.
  • Pieds : C'est la démarche à suivre de nos pas.
  • Pierre : la pie au coeur d'une pierre, voir plus bas.

Rien de moins que ça !? Bavarde, parcequ'elle a des choses à dire et faire comprendre, c'est la transmission.
Voleuse, parcequ'elle vole et qu'elle remplace nos villainies par des postures plus éléver.

Pierre

Par pierre, ici il ne s'agit pas du prénom, quoi que...

Dans la famille des minéraux, il en existe une diversité variable par leurs solidités. Nous trouvons deux autres familles, celles des pierres et celles des métaux.

Définition officielle :

  • La pierre peut être un fragment de roche, un caillou plus ou moins volumineux.
  • Bloc ou masse constituant la matière des roches et des rochers
  • Une pierre peut être une gemme, naturelle ou synthétique, utilisée en joaillerie, ou en horlogerie.

Dans la famille des pierres, il y a les précieuses et les semi-précieuses, elles sont utilisées pour l'essentiel en joaillerie.

Les pierres précieuses sont :

  • Diamant : est l'allotrope de haute pression du carbone, métastable à basses températures et pression.
    Moins stable que le graphite et le lonsdaléite qui sont les deux autres formes de cristallisation du carbone, sa renommée en tant que minéral lui vient de ses propriétés physiques et des fortes liaisons covalentes entre ses atomes arrangés selon un système cristallin cubique. En particulier, le diamant est le matériau naturel le plus dur (avec l'indice maximal (10) sur l'échelle de Mohs) et il possède une très forte conductivité thermique. Ses propriétés font que le diamant trouve de nombreuses applications dans l'industrie comme outils de coupe et d'usinage, dans les sciences comme bistouris ou enclumes à diamant et dans la joaillerie pour ses propriétés optiques.
  • Émeraude : est composé de silicate d'aluminium et de béryllium, auquel s’ajoutent du chrome, du vanadium et du fer. Sa dureté varie entre 7,5 et 8 sur l'échelle de Mohs. L’émeraude est légèrement dichroïque (vert-jaune ou vert-bleu). Sa cassure est conchoïdale et son trait est blanc. Sa densité varie de 2,7 à 2,9.
  • Rubis : est classé comme pierre gemme en joaillerie, où il est utilisé. Il a une dureté de 9 sur l'échelle de Mohs.
    Le rubis fut la pierre la plus précieuse dans l'ancien temps. On lui confère le mythe dans lequel le rubis représenterait le sang du Christ dans les sociétés chrétiennes. Elle était la pierre précieuse qui ornait les anneaux cardinalices jusqu'au Concile œcuménique Vatican II.
  • Saphir : est une pierre précieuse. C'est une variété gemmée du corindon pouvant présenter de multiples couleurs, sauf la couleur rouge qui désigne alors uniquement le rubis.
    Saphir, vient de l'Hébreu סַפִּיר, sappir « la plus belle chose »...

Et les semi-précieuses, il y a environs plus de 95 pierres, très arbitrairement, en voici quelques-unes :

  • Agate : est une variété de calcédoine qui se caractérise par des dépôts successifs de couleurs ou de tons différents, c'est une pierre fine.
  • Ambre : est une oléorésine sécrétée par des conifères il y a des millions d'années et qui s'est fossilisée.
  • Améthyste : est une variété de quartz violet (dioxyde de silicium), de diaphane à translucide, dont la teinte est due aux traces de fer. Ce minéral est utilisé en joaillerie et classé comme pierre fine.
  • Calcite : est une espèce minérale constituée principalement de carbonate de calcium.
    Ce sont les inclusions formées à partir des métaux tels que le fer, le zinc, le cobalt et le cuivre qui définissent le très large prisme de coloris dont se pare la calcite. Elle peut être incolore transparent (baptisée spath d’Islande) bleue, rouge, jaune, oranger, verte.
  • Cornaline : (étymologie : le fruit rouge du cornouiller (cornus mas), qui tire son nom du latin cornu (qui signifie corne, car le bois en est dur comme de la corne)) est une variété de calcédoines rouges. Elle est principalement utilisée pour la bijouterie.
  • Grenat : famille de minéraux du groupe des nésosilicates cristallisant dans le système cristallin cubique (ou isométrique). Les grenats de qualité gemme sont des pierres fines.
  • Jade : est une pierre gemme très dure et tenace employée en ornementation et en joaillerie.
    Les différentes variétés de jade étaient très employées en Europe à l'époque de la pierre polie (le Néolithique) pour la confection des haches.
    Les artistes chinois utilisent depuis longtemps cette pierre fine pour réaliser de petits objets d'art. .
  • Œil-de-tigre : est une variété de quartz, considérée comme pierre fine, utilisée dans les bijoux et objets d'art..
  • Onyx : est une variété d’agate, qui est elle-même une variété de calcédoine.
    Très utilisé dans l’Antiquité pour la gravure de camées ou d’intailles ; on l’emploie toujours comme pierre d’ornement et comme objet décoratif.
  • Opale : vient du mot sanskrit upala signifiant « pierre précieuse », qui est à l'origine du grec opallion et du latin opalus.
    En elles se trouve le feu subtil de l'escarboucle, l'éclat purpurin de l'améthyste, le vert de mer de l'émeraude; et toutes ces teintes y brillent, merveilleusement fondues.

Conclusion :

On constate que la pierre bien qu'elle ne soit qu'un minéral, exerce une certaine fascination chez les humains, qu'elle peut en être la raison ?
Le terme pierre, en hébreu ancien se dit gal qui signifit monceaux de pierres, ce qui donnera la Gallilé, le pays de Galles, la gaulle, la Galice. Et plus étonnant encore, la Gal-axis, ce qui signifie : l'axe de la pierre. Pas de doute c'est le règne de la pierre dans cet univers qu'est le nôtre.
D'autre part, entre un minéral tel que le charbon (graphite), qui est mou (fragile), lourd et opaque à la lumière et le diamant qui est la pierre la plus précieuse qui soit, par sa solidité, l'éclat de sa transparence et sa légèreté, il existe un point commun.
Ils sont constitués exactement par les mêmes atomes. La différence subsiste dans leurs alignements, l'agencement différent de leurs atomes au sein de leurs structures, fait que le diamant est très solide, léger et transparent.
Comment expliqué notre émerveillement pour ce diamant ?
Par l'alignement de ses atomes, au-delà de sa résistance, c'est sa transparence qui nous rayonne, car bien qu'il soit fait de matière très solide, il laisse passer la lumière, ce qui est pour nous un modèle de transmutation, partant d'un état que l'on considère comme vil, qu'est le charbon pour atteindre un niveau d'éclat et de transparence exemplaire...

Et comme pour tout ce qui est précieux et que s'il est précieux, c'est qu'il est plus près des cieux, sous-entendu plus élevé, plus évolué, plus pure.
À ce titre, les cristaux ou le cristal nous donnent une leçon, que l'on a déjà eu par le Christ-al, Al provient de l'Arabe signifiant au-dessus de tout.
Le Christ, c'est le crist auquel la lettre H symbolisé par sa forme de balance en équilibre.
Le crist reflète la lumière divine d'un équilibre entre le terrestre (le visible) et le Céleste (l'invisible).
Les cristaux, sont la lumière divine qui se cristallise sous nos yeux émerveillés par son éclat.